A eux…
Chaque moment qui passe, je pense à vous.
C’est quelque chose qui m’a toujours manqué et qui me manquera toujours.
Je ne vous ai jamais connu mais tellement désiré.
Plus le temps passe, plus vous me manquez.
Quand je vous cherche dans ma mémoire, je ne m’en souviens pas.
Quand je vous cherche à mes côtés, je ne vous trouve pas.
Quand je cherche à vous regarder, je ne vous vois pas.
Quand je vous cherche simplement, je n’ai rien.
Mais quand je consulte l’âme de mon coeur, vous y êtes par ce manque inexplicable.
Où êtes-vous? Pourquoi?
Etes-vous heureux de là haut sans moi? Le suis-je sans vous?
Qui avait le droit de me faire ça? Qui avait le droit de me les prendre?
Qui peut bien prendre soin de moi comme vous? Ni elle et ni eux.
Ils vous remplacent mais ne le sont pas.
Pour eux, ce sont des moments de doute, d’émerveillement, d’angoisse et de fustration.
Eux colmatent mes brêches mais ma demeure reste sans fondation.
Nos liens sont si fragiles, voir trop matériel.
Mais je ne baisse pas les bras. Toi nons plus.
D’autres comme moi sont dans mon cas. Tu n’es pas seul.
Ce sentiment isolé, mon bagage génétique au milieu d’eux sans vous.
Le poid de ce sentiment est toujours si lourd.
J’aime parler mais je déteste écrire. Qui de vous peut m’écouter?
Je l’ai graver dans mon coeur votre manque. Ainsi, peut-être me comprendrez-vous.
Rien ne vaut la vie puisqu’il faut la vivre. Elle ne se respire qu’une seule fois.
Moi je n’oublie rien. De là où je viens, mes origines et vous.
Je vous retrouverai mais je dois encore attendre. Inch’allah.
A toutes ces personnes qui sont dans mon cas.
A tous ceux qui ne savent pas ce que nous pouvons ressentir.
A tous ceux qui ne comprennent pas ce que nous pouvons ressentir.
Quand je vous cherche à mes côtés, je ne vous trouve pas.
Quand je cherche à vous regarder, je ne vous vois pas.
Quand je vous cherche simplement, je n’ai rien.
Mais quand je consulte l’âme de mon coeur, vous y êtes par ce manque inexplicable.
Où êtes-vous? Pourquoi?
Etes-vous heureux de là haut sans moi? Le suis-je sans vous?
Qui avait le droit de me faire ça? Qui avait le droit de me les prendre?
Qui peut bien prendre soin de moi comme vous? Ni elle et ni eux.
Ils vous remplacent mais ne le sont pas.
Pour eux, ce sont des moments de doute, d’émerveillement, d’angoisse et de fustration.
Eux colmatent mes brêches mais ma demeure reste sans fondation.
Nos liens sont si fragiles, voir trop matériel.
Mais je ne baisse pas les bras. Toi nons plus.
D’autres comme moi sont dans mon cas. Tu n’es pas seul.
Ce sentiment isolé, mon bagage génétique au milieu d’eux sans vous.
Le poid de ce sentiment est toujours si lourd.
J’aime parler mais je déteste écrire. Qui de vous peut m’écouter?
Je l’ai graver dans mon coeur votre manque. Ainsi, peut-être me comprendrez-vous.
Rien ne vaut la vie puisqu’il faut la vivre. Elle ne se respire qu’une seule fois.
Moi je n’oublie rien. De là où je viens, mes origines et vous.
Je vous retrouverai mais je dois encore attendre. Inch’allah.
A toutes ces personnes qui sont dans mon cas.
A tous ceux qui ne savent pas ce que nous pouvons ressentir.
A tous ceux qui ne comprennent pas ce que nous pouvons ressentir.